1998/11/04 - Réflexion pastorale

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De la promiscuité spirituelle qui ne respecte pas la valeur du temps dans lequel l'éternité est à la fois plongée, suspendue et surtout en attente de son accomplissement plénier, à la promiscuité affective il n'y a qu'un seul pas.

Dans le vrai amour ce sont deux plénitudes qui se rencontrent et s'épanouissent et non pas deux manques.